Artemisia annua: l'armoise annuelle, une plante de la famille des Asteraceae

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cgelinas
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Ŝi vous vous intéressez à l'artemisia annua, je vous invite à aller lire la page qui en parle, dans Wikipedia:


https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Armoise_annuelle


Cette suggestion m'a été faite par Marie-Ève qui m'a fourni la saisie d'écran, plus bas qui montre que l'OMS a une opinion favorable de cette plante, contrairement à ce que le nouveau directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus donne à penser tellement il est "froid" à l'idée d'utiliser cette plante pour favoriser la santé humaine, au sens large (pas juste pour le paludisme).

C'est bien beau attendre que la plante se retrouve brevetée (lire: brisée, divisée et morcelée au point de pouvoir en isoler un composé pour le VENDRE à pris d'or, sur les marchés "médico-pharmaceutiques-contrôlés" et systématiquement limitatifs) mais en ce moment, l'artemisia annua utilisée dans de l'eau chaude, bu une fois par jour, favorise la santé des gens qui l'utilisent, principalement en Afrique.

À même la montagne d'informations présentées dans la page de Wikipedia, incluant les sources de ces informations, on retrouve les informations qui suivent.

En médecine traditionnelle chinoise, la tisane d'armoise annuelle est utilisée traditionnellement pour traiter la fièvre.

Donc, à la base, quand on prend en compte le système biologique du corps dans son ensemble, comme dans le cas de la médecine chinoise, l'artemisia annua aurait son utilité pour traiter la fièvre.

C'est là une utilité fort importante de cette plante.

L'armoise annuelle est utilisée sous forme de tisane comme complément alimentaire et dans le traitement de nombreuses maladies, telles que des dermatites ou bien encore contre le paludisme.

L’armoise annuelle est déconseillée pendant la grossesse.

Je ne savais pas à propos des dermatites mais je savais à propos de l'usage premier, soit contre le paludisme. Je n'avais pas entendu parler de faire attention pendant la grossesse.

Et là, on tombe dans le vif avec ce qu'en dit l'OMS...

Extraction: l'Artémisinine

L'artémisinine et plusieurs de ses dérivés chimiques (artésunate, artéméther) sont indiqués par l'OMS dans le traitement des accès palustres, notamment dû à P. falciparum[9],[10]. L'action pharmacologique serait liée à la fonction peroxyde de la molécule qui peut libérer des espèces réactives de l'oxygène ou radicaux oxydants délétères pour les parasites. La présence de fer dans l'hémoglobine des globules rouges favorise cette action.

L'artémisinine, l'artésunate et l'artéméther sont inscrits sur la liste des médicaments essentiels de l'OMS, notamment pour le traitement contre du paludisme[11].

Des études scientifiques confirment cette propriété[12] et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) tend à réglementer les programmes de soins et de culture[13].

Cependant, une monothérapie à base d'artémisinine ou de ses dérivés pourrait favoriser l'émergence de souches de Plasmodium résistantes.

Si l'artémisinine a été identifiée comme un principe actif de la plante, l'administration d'un extrait sec des parties aériennes de la plante à des rats infestés tend à ralentir l'apparition d'une résistance par rapport à l'administration de la molécule pure[14] ; cela indique la présence d'autres composés efficaces sur certaines espèces de Plasmodium et synergique avec l'artémisinine. Aussi, un grand nombre de personnes ayant été malades de longue date déclarent avoir été totalement guéries après une cure consistant à boire la plante en infusion [15].

C'est cet extrait qui m'a mené au « WHO Model List of Essential Medicines, 21st List (2019) » où il est question de dihydroartémisinine.

La dihydroartémisinine ou DHA est un dérivé semi-synthétique de l'artémisinine et est le métabolite secondaire actif présent dans celle-ci ainsi que dans tous les autres dérivés de cette artémisinine.

L’artémisinine est la substance active médicamenteuse isolée de la plante Artemisia annua et dont la vertu médicinale est connue en Chine depuis plus de 2 000 ans. Il s'agit d'une lactone sesquiterpénique portant un groupe peroxyde qui semble être le fer de lance de son efficacité thérapeutique.

Traduit de l'anglais-Les lactones sesquiterpéniques sont une classe de sesquiterpénoïdes qui contiennent un cycle lactone. On les trouve le plus souvent dans les plantes de la famille des Astéracées. Les autres familles de plantes avec SL sont Umbelliferae et Magnoliaciae.

Les sesquiterpènes forment une classe de molécules de la famille des terpènes, de formule moléculaire brute C₁₅H₂₄. Les sesquiterpénoïdes sont leurs nombreux dérivés par synthèse ou modification biologique.

Les terpènes sont une classe d'hydrocarbures, produits par de nombreuses plantes, en particulier les conifères. Ce sont des composants majeurs de la résine et de l'essence de térébenthine produite à partir de résine. Les terpènes sont des métabolites secondaires qui se rencontrent également chez les Métazoaires (soit les animaux qui se nourrissent de substances organiques).

Rappelons que les métabolites secondaires des plantes sont des composés chimiques synthétisés par les plantes qui assurent des fonctions non essentielles, de sorte que leur absence n'est pas létale pour l'organisme, contrairement aux métabolites primaires.


Donc...

L'OMS parle bel et bien de la plante d'artemisia annua mais SEULEMENT au travers du mot "dihydroartémisinine" mais c'est normal parce que combinée avec la molécule synthétique pipéraquine, elle fait partie des médicaments génériques ACT dans la lutte contre le paludisme.

Autrement dit, l'OMS ne parle que des "produits" susceptibles d'être rendus disponibles par des compagnies pharmaceutiques, incidemment, les principaux commanditaires, directs ou indirects, de l'OMS.

Ce que ça prouve, c'est que le public PEUT bénéficier des travaux de classification et d'analyse de l'OMS.

C'est possible, il suffit de chercher, comme je viens de le faire ; )

Mais c'est très clair que le but est de rendre "la nature", au sens large, disponible d'abord via le "guichet pharmaceutique"... comme un ÉNORME retour d'ascenseur entre l'OMS et les pharmaceutiques. Ça explique peut-être aussi les portes tournantes entre de nombreux administrateurs de l'OMS et des compagnies pharmaceutiques.

L'un explique probablement l'autre.


Mais alors, pour s'en faire avec tout ça? L'OMS ouvre la voie commerciale aux pharmaceutiques qui peuvent s'enrichir avec la "dihydroartémisinine"... pourquoi s'en préoccuper?

Tout simplement parce que la plante d'artemisia annua a l'effet thérapeutique recherché par ceux qui l'utilisent, sous sa forme de plante (et non-pas sous sa forme éventuellement brevetée utilisant la "dihydroartémisinine" isolée et combinée à d'autres composés).

Ainsi, on voit-là la plante d'artemisia annua qui devient le "concurrent" (presque gratuit et infiniment abondant) de l'industrie pharmaceutique qui n'arrive pas à vendre de cachets brevetés (et typiquement coûteux) si tout le monde fait pousser ses propres plantes d'artemisia annua.


C'est donc là et très exactement là qu'on voit que l'OMS fait un grand effort pour maintenir son intégrité en mentionnant la "dihydroartémisinine" (ce qui est bon pour ses souteneurs pharmaceutiques) tout en prenant bien soin de ne JAMAIS mentionner l'artemisia annua, sous forme de plante quasi-gratuite et abondante (et facile à utiliser, pour des fins thérapeutiques).


Autrement dit, via la situation largement exposée (avec cet événement de la COVID-19), on peut voir, plus clairement que jamais, comme l'OMS utilise des fonds publics (provenant historiquement des gouvernements) pour favoriser quasi-unilatéralement le développement profitable chez ses nouveaux souteneurs financiers liés au complexe médico-pharmaceutique-chimique.

Et c'est là que le public s'éveille au monde infini des possibilités thérapeutiques offertes par les plantes, comme dans le cas de l'artemisia annua qui est savamment référé sous le vocable "dihydroartémisinine", à l'OMS.

Avouez que c'est brilliant! Ou machiavélique...

L'OMS ne ment pas mais utilise simplement un narratif de "molécules isolées" pour faire une passe sur la palette, à tout coup, à ses complices pharmaceutiques plutôt que de faire cette même proverbiale "passe sur la palette" (lire: faire une fleur, devenir complice, dans le bon sens) des gens, les financiers historiques de l'OMS.

Ainsi, c'est de cette façon, au plan scientifique que l'OMS a glissé du côté des pharmaceutiques, délaissant une science accessible au grand public pour complexifier l'accès à la connaissance pour l'ensemble des gens et ce, au profit des compagnies pharmaceutiques qui peuvent profiter sans fin d'une connaissance devenue universelle en se cachant derrière des appellations plus conformes à l'état de la science, documentée et confirmée par l'OMS... mais largement incomprise par l'homme de la rue qui n'aura plus le réflexe de faire pousser sa propre plante d'artemisia annua, convaincu qu'il lui faut acheter un médicament contenant de la "dihydroartémisinine".


C'est ça, la grande imposture "moderne" de l'OMS, à mon sens.

Certes, l'information existe mais si elle n'est pas expliquée au grand public, de manière simple afin de favoriser son accès aux avancées scientifiques, l'OMS ne joue pas son rôle.

Pire, l'OMS se rend complice de ceux qui veulent profiter de l'ignorance collective entretenue en vendant ce qui pourrait être donné (ou alors, vendu infiniment moins cher).


Il y a aussi l'aspect politique de l'OMS avec des agendas imprévisibles qui exacerbent des tendances totalitaires inquiétantes de plusieurs de ses administrateurs (pas tous mais plusieurs) qui utilisent les morceaux de science qui font leur affaire pour "encadrer" les politiques sanitaires, dans le monde entier.

Les bénéficiaires de ces politiques, à la lumière de l'événement de la COVID-19 sont principalement les classes politiques qui attendent les arguments de l'OMS pour limiter les droits de leurs citoyens en prétextant vouloir "suivre la science" mais comme la science de l'OMS est choisie pour limiter les débats, de nombreuses personnes se conforment à la censure du débat public et aux limitations graves à leurs libertés "parce que l'OMS l'a dit" et le "bon gouvernement local" ne fait que donner force à ces dires, issus de l'OMS.


C'est donc merveilleux de voir que l'OMS compile les composés bénéfiques provenant essentiellement de la nature mais c'est très inconvenant de voir que ces connaissances, en ce moment, sont utilisées pour limiter gravement le développement humain.

Au lieu de cette dérive totalitariste sur fond de justifications sanitaires d'urgence (toujours appuyées par l'OMS et relayées, ensuite, localement), les gens auraient besoin d'un OMS bienveillant qui chercherait à rendre accessible les immenses connaissances qu'elle fait exprès de conserver derrière des mots compliqués et des approches principalement favorables aux nouveaux financiers derrière la version "actualisée" et quasi-privatisée de l'OMS.


Je vous encourage, chers Amis, à poursuivre vos recherches!

Derrière les mots compliqués (souvent inutilement compliqués) se trouvent (très, très souvent) des réponses étonnamment simples, provenant de la nature et donc, plutôt accessibles à tous ceux qui peuvent faire pousser et ensuite utiliser cette nature, à des fins thérapeutiques.

Découvrez des océans de connaissances à votre portée en osant ouvrir les volets de ces connaissances, trop longtemps fermés par des tenants des empires médico-pharmaceutiques.

Ensemble, nous pouvons créer le monde dans lequel nous voulons vivre.

Tous les mots sont importants, dans la ligne ci-haut!


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L'article que j'avais écrit pour acheter de l'artemisia annua au Québec est ici:


Si vous connaissez d'autres endroits où acheter de l'artemisia annua au Québec (ou ailleurs), veuillez m'en faire part.

Mon courriel est [email protected]
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Je viens d'écrire un GROS article sur l'artemisia annua...


Je parle de l'artemisia annua dans le contexte où l'OMS n'en parle pas mais au fond, en parle de manière officielle avec la "dihydroartémisinine" qui provient de l'artemisia annua.

Au fond, dès qu'on comprend leur jeu des mots compliqués de l'OMS, on peut voir à quel point c'est facile de faire dire bien des choses à "la science".

Jamais de mensonges mais des "interprétations" qui finissent par faire plonger nos sociétés dans des dérives aux allures totalitaires, avec des limitations et mêmes des suppressions de nos libertés, tout ça sous prétexte d'une "crise sanitaire sans précédent" qui, à la face des preuves, demeure hautement discutable.

Une plante humble, bénéfique et abondante comme l'artemisia annua doit être valorisée comme un trésor de l'humanité.

L'OMS travaille-t-il vraiment pour les gens?

À la vue de leurs actions récentes, dans le cadre de l'événement de la COVID-19, il est permis d'en douter et avec la venue des vaccins (les 142 "projets de vaccins" documentés par l'OMS), nous devons percer le voile des manipulations de ceux qui instrumentalisent l'OMS, contre notre meilleur intérêt.

L'artemisia annua sera, pour plusieurs, la plante qui aura accéléré et enrichi leur éveil.

Chers Amis, il y a des connaissances à votre portée que l'OMS souhaite taire mais vous savez trop bien que ce n'est pas censé vous arrêter, dans votre quête de liberté.

Merci de me lire et de m'aider à continuer de vous informer!

Un merci tout particulier à Marie-Ève qui m'a mis sur une bonne piste pour cet article.

#Ensemble

#ArtemisiaAnnua #ArmoiseAnnuelle


Source: Moi, dans Facebook
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