Dr Christian Fiala: les "vaccins" contre le corona -- une auto-destruction programmée de l'organisme?

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19 novembre 2021


Dans cet article, le Dr Christian Fiala, fondateur et directeur médical de la Gymned Clinic à Vienne, décrit avec clarté le fonctionnement des "vaccins" à ARNm et les risques qui leur sont liés.

Avant tout, notre système immunitaire est d'une grande complexité. Il identifie un agent pathogène ou une cellule étrangère à partir de sa surface cellulaire et détruit la cellule transportant ces antigènes. C'est sur ce principe que s'appuie la vaccination. Pour ce faire, le pathogène est généralement inactivé de manière à ce qu'il ne puisse plus causer d'infection.

Une caractéristique essentielle du système immunitaire est la stricte différenciation qu'il établit entre les cellules propres de l'organisme et les cellules étrangères. Vivre en bonne santé n'est possible qu'à cette condition. C'est précisément cette distinction essentielle et ce fondement de la vie qui se trouvent remis en question avec l'injection que nous connaissons actuellement, et qui se répand sous le nom de "vaccination" contre le coronavirus. Les désormais célèbres protéines Spike sont une caractéristique permettant de reconnaître le coronavirus, un antigène.

Tirer contre son camp

Quand le Corona virus pénètre dans l'organisme, le système immunitaire reconnaît l'envahisseur grâce à l'antigène de la protéine Spike et détruit celui-ci ou les cellules déjà infectées.

Avec la "vaccination" à ARNm contre le coronavirus, les cellules de l'organisme, pour la première fois dans l'Histoire, sont délibérément programmées génétiquement via l'ARNm pour produire la protéine Spike en tant qu'antigène (étranger) à leur surface, cela bien qu'elles soient totalement saines et non-infectées par le virus.

Le mécanisme d'action de la "vaccination" contre le coronavirus consiste à marquer des cellules saines en tant que cellules étrangères.

En conséquence, le système immunitaire réagit immédiatement ; il reconnaît l'antigène comme étranger, fabrique des anticorps pour le combattre, et détruit la protéine Spike en détruisant la cellule qui la porte.

Cela signifie que la "vaccination" contre le coronavirus trompe notre système immunitaire, le poussant à attaquer et détruire nos propres cellules saines. Chez les militaires, on appelle ça "tirer contre son camp". Cela représente un danger radical non seulement pour notre santé, mais également pour notre survie. Nous connaissons ce phénomène avec les maladies auto-immunes. Peu fréquentes, elles sont généralement graves et peuvent se révéler fatales.

La dose fait le poison

Pour mieux évaluer le danger de la "vaccination" contre le coronavirus, il est important de savoir quelle quantité d'ARNm est administrée avec une dose de vaccin, c'est à dire combien de cellules de l'organisme sont stimulées afin de produire la protéine Spike, et donc relâchées pour être détruites par le système immunitaire. Malheureusement, cette information essentielle n'est pas mentionnée dans les études d'approbation. On ne trouve qu'une estimation scientifique du nombre de particules dans lesquelles l'ARNm est transporté par les nanoparticules lipidiques: environ 2 milliards.

Toutes les particules n'atteignent pas une cellule saine et certaines cellules de l'organisme entrent en contact avec plus d'une particule. De plus, toutes les particules ne sont pas forcément fonctionnelles. Cependant, le nombre de particules est particulièrement important si l'on considère que le corps humain est formé d'environ 37 milliards de cellules.

Quels sont les organes endommagés par la "vaccination" contre le coronavirus?

La "vaccination" contre le coronavirus est programmée de manière à ce que le système immunitaire détruise les cellules de l'organisme ayant produit la protéine Spike à leur surface. Cela pourrait-il concerner des organes vitaux?

La réponse à cette question peut se trouver, ainsi que d'autres, dans les expérimentations animales réalisées par le fabriquant du vaccin BionTech/Pfizer. L'information génétique de la protéine Spike, qui se situe dans un segment du génome, l'ARNm, est enveloppée dans de minuscules sphères de graisse, les nanoparticules lipidiques. Au bout d'une heure, la moitié d'entre elles s'étaient déjà répandues dans l'ensemble du corps. Dans les expérimentations animales mentionnées ci-dessus, on a retrouvé ces nanoparticules au sein de tous les organes, en particulier le foie.

On en a également retrouvé dans le cerveau, preuve qu'elles sont capables de traverser la barrière hémato-encéphalique. D'autres ont été également détectées dans les ovaires et les testicules. Cela signifie que les cellules de l'organisme créent la protéine Spike dans ces organes, ce qui explique sans doute pourquoi les multiples effets secondaires et les dommages causés par le vaccin sont également répartis de façon aléatoire dans un grand nombre d'organes.

Etant donné que les nanoparticules sont distribuées dans le sang, les cellules endothéliales sont tout particulièrement touchées. Ceci explique les nombreux caillots sanguins (thromboses ou embolies) observés suite à la "vaccination" contre le coronavirus. Ce phénomène se retrouve dans le cerveau, entre autres, et entraîne des dommages partiellement irréversibles. C'est particulièrement inquiétant, car cela montre que même ces organes séparés du système immunitaire par une barrière spéciale sont désormais vulnérables.

La "vaccination" booster - assez, ça ne suffit pas

La "vaccination" contre le coronavirus est conçue pour être administrée à de courts intervalles. Ainsi, elle expire au bout de 6 à 9 mois, après lesquels les personnes vaccinées sont considérées comme non vaccinées. De nombreux gouvernements ont déjà commandé plusieurs millions de doses pour les années à venir. En Israël, une large part de la population a déjà été vaccinée une troisième fois.

La question clé devient: quel est l'effet d'une injection répétée sur l'organisme?

Notre système immunitaire est capable d'apprendre. Quand un agent pathogène pénètre dans le corps pour la première fois, il est reconnu comme étranger, mais il faut plusieurs jours pour que le système immunitaire entre en jeu. Pendant ce temps, le pathogène a le dessus pour une courte période. Ce n'est qu'au bout de quelques jours que le système immunitaire est suffisamment fort pour détruire le pathogène et que nous retrouvons la santé.

Heureusement, la fois suivante, le système immunitaire se souvient de "l'aspect" du pathogène et s'active plus rapidement et avec plus de force. Cette défense puissante nous protège et nous ne retombons pas malade; nous sommes immunisé.

Ce mécanisme vital se répète également à chaque nouvelle "vaccination" contre le coronavirus, sauf que la réaction massive du système immunitaire à chaque injection ultérieure n'est pas dirigée contre un agent pathogène mais contre nos propres cellules saines, marquées une fois encore par la protéine Spike. Considérée comme un agent pathogène, ces cellules par ailleurs saines sont ciblées pour être détruites. L'efficacité et la férocité de cette destruction augmentent à chaque injection. Ce qui signifie que les "cellules marquées", bien que saines, sont détruites encore plus efficacement que lors de la première injection.

Ainsi, cette faculté de mémorisation du système immunitaire devient une arme dangereuse contre nous-mêmes.

Au lieu de rendre les agents pathogènes étrangers inoffensifs, le système immunitaire détruit maintenant les propres cellules de l'organisme qui ont reçu l'ordre de produire la protéine Spike. Par conséquent, chaque injection supplémentaire d'un "vaccin" contre le coronavirus représente un grand risque. Ce qui correspond aux complications vaccinales de plus en plus nombreuses et de plus en plus fortes que l'on observe après la deuxième vaccination.

Il en va de même pour les personnes qui ont eu une infection à coronavirus dans le passé, se sont rétablies, et reçoivent malgré tout une "vaccination" contre le coronavirus.

Heureusement, les personnes déjà vaccinées peuvent décider de sortir du cycle de la vaccination à tout moment, et ainsi très certainement éviter des risques supplémentaires pour leur santé.

Conclusion

Avec la "vaccination" à ARNm contre le coronavirus, un nombre incroyablement élevé de cellules endogènes saines sont marquées comme cellules étrangères par la protéine Spike, donnant ainsi le feu vert au système immunitaire pour les détruire. Le système immunitaire a été trompé pour tuer des milliards de cellules saines.

Epilogue

Les processus décrits font partie du savoir médical de base et sont bien connus. Ce qui rend d'autant plus inquiétant le fait que ces aspects importants soient pratiquement absents des discours scientifiques et publics. D'autres informations sur la "vaccination" contre le coronavirus sont résumées dans l'article suivant: 10 arguments contre la vaccination:




Source: SOTT / 10 raisons pour lesquelles une vaccination contre le corona actuellement peu de sens



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