Camilla Canepa souffrait d'une maladie sanguine auto-immune et suivait une hormonothérapie

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cgelinas
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11 juin 2021



Camilla Canepa, 18 ans est MORTE le 10 juin 2021.

Le fabricant du "vaccin" AstraZeneca ne sera absolument pas poursuivi. Au contraire, il continuera à recevoir de gros chèques bien juteux de tous les gouvernements mondialistes, comme celui de l'Italie.



L'enquête du ministère public de Gênes sur le décès de Camilla Canepa, 18 ans, quelques jours après avoir été vaccinée avec Astra Zeneca lors d'une journée portes ouvertes, acquiert des données jugées très pertinentes. Il s'est avéré que Camilla souffrait d'une thrombopénie auto-immune, essentiellement d'une pénurie de plaquettes. Le manque de plaquettes est un indice d'alarme même s'il se produit après la vaccination, en fait dans le protocole du ministère de la Santé, le contrôle des plaquettes a indiqué comme première évaluation en cas de thrombopénie induite par le vaccin. La jeune femme suivait également une hormonothérapie.

Les dossiers médicaux

La question que les enquêteurs se posent maintenant si la pathologie de Camilla avait été signalée sous la forme qui doit être donnée au personnel de vaccination : une étape très délicate car une maladie plaquettaire aurait dû déconseillé l'utilisation de l'Astra Zeneca. Les enquêteurs de Nas ont également acquis les dossiers médicaux de Camilla concernant les deux salles d'urgence dans lesquelles elle s'est présentée : la première le 3 juin à l'hôpital de Lavagna, la seconde le 5 juin suivie d'une hospitalisation immédiate à San Martino à Gênes.

Surtout pour les premiers importants de savoir si Camilla avait déclaré la pathologie et si les tests ont été effectués pour vérifier l'absence de plaquettes, un examen indispensable compte tenu de ses symptômes (maux de tête et photophobie).

Camilla a immédiatement reçu son congé des urgences de Lavagna avec la recommandation de répéter l'analyse sanguine après quinze jours, ce qui suggère que le test sanguin a été effectué et que, dans ce cas, la piastropenia aurait dû apparaître comme un facteur d'alarme. Il y a beaucoup de questions en suspens. La direction de la santé de Lavagna et l'ASL de Chiavari mènent également une enquête interne.

Les morts

Canepa est décédée le 10 juin à l'hôpital San Martino de Gênes, où elle était hospitalisée depuis le 5 juin pour une hémorragie cérébrale. Le 25 mai, elle avait été vaccinée à Gênes, profitant d'une journée portes ouvertes, et avait reçu la première dose d'AstraZeneca.

Le procureur de Gênes y a déjà ouvert une enquête sur sa mort.

Parmi les documents que les militaires acquièrent en ces heures, il y a aussi les rapports des directeurs médicaux de San Martino Pelosi et Brunetti. Mardi, la mission sera confiée aux coroners Luca Tatjana et Franco Piovella.

Toti publie l'avis du Cts du 12 mai

Après la mort de Canepa, le président de la région ligure Giovanni Toti a publié la lettre envoyée aux régions par le CTS le 12 mai pour autoriser l'utilisation d'AstraZeneca lors de "journées portes ouvertes" destinées aux jeunes. Le CTS, lit-on dans la lettre, ne détecte aucune raison qui empêche l'organisation d'initiatives par les différentes réalités régionales (...) visant à offrir, à la suite d'adhésion / demande volontaire, les vaccins vectoriels adénoviraux à tous les sujets de vieillesse. à 18 ans. Pour tous ceux qui écrivent, racontent, commentent à la radio, à la télévision, dans les journaux, dans les débats politiques et qui continuent de dire que les régions lors des journées portes ouvertes d'AstraZeneca se sont déroulées seules et sans ordre particulier, Toti écrit en commentant le document.

Le débat sur AstraZeneca

Ces derniers jours, le cas de Canepa puis celui d’une autre jeune femme (encore hospitalisée en réanimation après avoir souffert de thrombose) ont relancé le débat sur l’opportunité d’administrer AstraZeneca à des personnes de moins de 60 ans. Le ministère de la Santé a demandé un nouvel avis sur les experts du CTS, qui - après avoir examiné de nombreuses études sur les contre-indications pour les jeunes - auraient convenu de la nécessité de suspendre l'administration pour les moins de 60 ans et de recommander aux jeunes qui ont déjà pris la première dose d'AstraZeneca de procéder à la deuxième dose avec Pfizer. Une réunion du Comité est actuellement en cours, à l'issue de laquelle la décision finale sur la question devrait être communiquée au ministre de la Santé qui devra ensuite publier la circulaire.




Source: Time.News




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