Lisa Shaw, 44 ans, meurt après l'injection du vaccin-COVID d'AstraZeneca

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La famille de Lisa Shaw, présentatrice de la BBC Radio à Newcastle, a annoncé qu'elle est décédée à l'âge de 44 ans après avoir souffert de caillots sanguins à la suite de l'injection-COVID du ChAdOx1 d'AstraZeneca.
  • Lisa Shaw a développé de "graves" maux de tête après avoir eu l'injection et est tombée gravement malade
  • La jeune femme de 44 ans est décédée à l'infirmerie royale de Victoria, à Newcastle, vendredi, le 27 mai 2021
  • Les personnes de moins de 40 ans se voient offrir une alternative au vaccin AstraZeneca à la suite de rapports de caillots sanguins extrêmement rares au cerveau
Une présentatrice de radio primée de la BBC est décédée à l'hôpital après avoir souffert de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin AstraZeneca, a révélé sa famille.

Lisa Shaw, qui travaillait pour BBC Newcastle, a développé de "graves" maux de tête une semaine après avoir eu l'injection et est tombée gravement malade quelques jours plus tard, ont déclaré des parents dans un communiqué.

Mme Shaw, 44 ans, est décédée à l'infirmerie royale de Victoria, à Newcastle, vendredi après-midi après avoir été traitée en soins intensifs pour caillots sanguins et saignements.

Un certificat de fait de décès énumère le vaccin comme l'un des facteurs possibles, mais le document ne détermine pas de cause de décès. On s'attend à ce qu'elle ne soit libérée qu'à la suite d'une enquête sur son décès.

La présentatrice n'était pas connue pour avoir de problèmes de santé sous-jacents et sa mort a été un choc dévastateur pour sa famille et ses collègues.

Plus de 330 cas d'un trouble rare de la coagulation ont été détectés parmi 24,2 millions de receveurs de l'injection - soit environ un sur 75 000 personnes. Cinquante-huit patients sont décédés.

Les caillots - qui peuvent se produire dans le cerveau - se produisent en même temps que des niveaux plaquettaires anormalement bas, connus sous le nom de thrombopénie.

Le mois dernier, les chefs de la santé ont déclaré que tous les moins de 40 ans devraient se voir offrir une alternative au vaccin d'AstraZeneca en raison de craintes de caillots sanguins.

Les statisticiens ont analysé les chiffres et ont constaté que les taux étaient légèrement plus élevés chez les jeunes adultes, les femmes semblant également les plus à risque.

Les personnes de moins de 40 ans au Royaume-Uni se voient offrir une alternative au vaccin AstraZeneca à la suite de rapports de caillots sanguins extrêmement rares sur le cerveau couplés à un faible nombre de plaquettes sanguines.

L'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) a déclaré que les avantages du vaccin Oxford/AstraZeneca continuent de l'emporter sur les risques pour la plupart des gens. Il n'a pas prouvé que le vaccin provoque les caillots, mais a déclaré que le lien se raffermit. [Éditeur: ça peut vous TUER mais ça en vaut le risque... quelle foutaise.]

Depuis que la mort de Shaw a été annoncée à l'antenne dimanche, les hommages de collègues et d'auditeurs ont afflué.

Dans un communiqué publié par la BBC, la famille de la mère de famille a déclaré : "Lisa a développé de graves maux de tête une semaine après avoir reçu son vaccin AstraZeneca et est tombée gravement malade quelques jours plus tard.

« Elle a été traitée par l'équipe de soins intensifs de l'infirmerie royale de Victoria pour caillots sanguins et saignements dans la tête.

« Tragiquement, elle est décédée, entourée de sa famille, vendredi après-midi.

« Nous sommes dévastés et il y a un trou en forme de Lisa dans nos vies qui ne peut jamais être comblé.

« Nous l'aimerons et nous manquerons toujours.

« Ce fut un énorme réconfort de voir à quel point elle était aimée par tous ceux dont elle a touché la vie, et nous demandons de l'intimité en ce moment pour nous permettre de pleurer en famille. »

Un porte-parole de la MHRA a déclaré : "Nous sommes attristés d'apprendre la mort de Lisa Shaw et nos pensées vont à sa famille.

« Comme pour tout effet indésirable suspect grave, les rapports ayant un résultat fatal sont entièrement évalués par la MHRA, y compris une évaluation des détails post mortem si disponibles.

« Notre examen détaillé et rigoureux des rapports sur les caillots sanguins survenus en même temps que la thrombopénie est en cours. » [Éditeur: et la conclusion sera que cet épisode n'est qu'une série de coïncidences... parce que les fabricants de vaccin ne sont JAMAIS coupables de rien, même de la mort des injectés.]

Il a déclaré que le nombre de cas restait "extrêmement faible". [Éditeur: mais des vaccinés meurent pareil.]

Shaw a précédemment travaillé à la radio commerciale et a remporté un Sony Gold Award en 2012 pour le petit déjeuner émission qu'elle a animé sur Real Radio avec le coanimateur Gary Philipson.

Rik Martin, rédacteur en chef par intérim de BBC Radio Newcastle, a déclaré : "Tout le monde à la station est dévasté et pense à la belle famille de Lisa.

« C'était une collègue de confiance, une présentatrice brillante, une amie merveilleuse, et une femme et une mère aimantes. [Éditeur: certes mais là, elle est morte suite à sa vaccination-COVID... pas de danger de le mentionner.]

« Elle aimait être à la radio et était aimée de notre public.

« Nous avons perdu quelqu'un de spécial qui signifiait beaucoup pour beaucoup de gens. » [Éditeur: surtout, ne pas mentionner de quoi elle est morte, ça pourrait offusquer les annonceurs pharmaceutiques. Aussi bien laisser planer la vacuité de propos vaporeux pour donner l'impression qu'elle est morte de sa belle mort.]

Chris Burns, responsable de la BBC Local Radio, a ajouté : "Lisa était une présentatrice talentueuse qui avait déjà accompli beaucoup et aurait accompli beaucoup plus". [Éditeur: et si la BBC avait été un bon employeur et l'aurait empêché d'aller mettre inutilement sa vie en danger, elle serait encore là.]

Un porte-parole de l'hôpital a déclaré : "Nous avons été incroyablement attristés par la nouvelle de la mort de Lisa, mais il serait inapproprié pour nous de discuter de détails individuels sur un patient. Nos pensées et nos sincères condoléances accompagnent la famille en cette période difficile."

On pense que le risque d'un caillot lié à l'injection est d'environ un sur 100 000 pour les personnes dans la quarantaine. Le risque de décès à tout âge en raison d'un tel caillot a été estimé à environ un sur un million. [Éditeur: encore des MENSONGES puisque les effets indésirables ne font pas l'objet d'une surveillance systématique.]

Les scientifiques ont déjà dit que chez certaines personnes, le système immunitaire voit le vaccin comme une menace et surproduit des anticorps pour le combattre. [Éditeur: la protéine Spike est TOXIQUE et donc, 100% des vaccinés se font injecter ce qui cause les caillots.]

Ceux-ci conduisent à la formation d'amas dans le sang, qui peuvent devenir mortels si les caillots se déplacent vers des organes vitaux et coupent l'approvisionnement en sang.

La complication a effrayé certains pays qui ont tourné le dos à l'injection d'AstraZeneca, le Danemark ayant choisi de ne pas l'utiliser en avril 2021. La Norvège et l'Autriche ont ensuite emboîté le pas. [Éditeur: TOUS les pays auraient dû refuser TOUS les vaccins-COVID car ils causent TOUS des thromboses.]

D'autres pays ont limité son utilisation aux personnes âgées. [Éditeur: et là, la victime vaccinale avait 44 ans.] Les chefs de la santé britanniques disent que les moins de 40 ans devraient se voir offrir d'autres injections parce que le risque de caillots sanguins ne l'emporte pas clairement sur les avantages.

La décision a été prise parce que les cas de COVID-19 étaient en chute libre, ce qui signifie que le risque de contracter la maladie était minime. En outre, les jeunes adultes risquent peu de tomber gravement malades du COVID.

Pour les personnes âgées qui risquent vraiment de mourir si elles attrapent le COVID, les avantages de la protection contre le virus l'emportent clairement sur tout effet secondaire négatif, disent les régulateurs. [Éditeur: encore là, aucun danger qu'ils mentionnent de meilleures habitudes de vie puisque le seul but est de vendre les vaccins.] Le risque absolu de développer des caillots est d'environ un sur 100 000. [Éditeur: grâce aux statistiques mollement recueillies afin de faire mieux paraître "big pharma"... à lever le coeur.]

Mais des chercheurs de l'Université Goethe de Francfort et de l'Université Ulm, à Helmholtz, disent que le problème réside dans le vecteur adénovirus - un virus du rhume commun utilisé pour que les deux vaccins puissent pénétrer dans l'organisme.

Ils disent que les vaccins peuvent être adaptés pour empêcher l'effet secondaire rare de se produire, a rapporté le Financial Times.

La variante indienne Covid représente maintenant entre la moitié et les trois quarts de tous les cas au Royaume-Uni, a déclaré Matt Hancock aujourd'hui.

Le secrétaire à la Santé a déclaré lors d'une conférence de presse de Downing Street que la souche à propagation rapide est maintenant dominante en Grande-Bretagne, prenant la relève de la variante de Kent qui était la plus courante depuis Noël.

Il a déclaré que la nouvelle variante "s'étendait encore et que les dernières estimations indiquent que plus de la moitié et potentiellement jusqu'à trois quarts de tous les nouveaux cas sont maintenant de cette variante".

Une mise à jour de Public Health England a montré qu'il y a eu 6 959 cas de la souche confirmés jusqu'à présent, soit près du double par rapport à 3 535 cas la semaine dernière.

Il a maintenant été trouvé dans 252 autorités locales en Angleterre sur environ 300, ce qui montre qu'il a atteint la plupart des coins du pays.

Le Dr Jenny Harries, chef de la Health Security Agency du Royaume-Uni, a déclaré : "Dans la plupart des régions d'Angleterre, nous savons que la nouvelle variante, la variante originaire de l'Inde, remplace la variante 117, c'est donc quelque chose que nous devons surveiller très attentivement."

L'augmentation du nombre de cas a jeté le doute sur la possibilité de se dérouler comme prévu la fin du 21 juin du confinement.

Le Premier ministre Boris Johnson a admis aujourd'hui que le n° 10 pourrait devoir attendre plus de données avant d'aller de l'avant avec l'assouplissement de l'ensemble final de restrictions de confinement, tandis que le secrétaire à la Santé a déclaré aux députés qu'il était encore "trop tôt" pour dire si la feuille de route devait être ralentie face à la souche mutante.

Le conseiller SAGE, le professeur Neil Ferguson [Éditeur: le bandit à cravate qui a plongé le monde dans la paranoïa-COVID, oui, ce bandit-là qui sévit ENCORE.], alias "Professeur Lockdown", a déclaré que la feuille de route est maintenant "en jeu" et que son collègue le professeur John Edmunds a déclaré qu'il n'irait pas de l'avant avec le 21 juin 2021 parce que c'est "un peu trop risqué". [Éditeur: correction: 2 bandits à cravate qui mentent comme ils respirent.]

Les chefs de la santé ont enregistré aujourd'hui 3 542 tests positifs pour le coronavirus - le chiffre le plus élevé depuis le 12 avril et en hausse de 23,2 % par rapport au dénombrement de jeudi dernier. [Éditeur: des asymptomatiques... une chance que les tests PCR continuent de MENTIR.]

C'est le deuxième jour où les cas ont augmenté d'un cinquième par rapport à la semaine précédente, mais le Dr Harries a déclaré qu'il pourrait être causé en partie par des tests dans les points chauds des variants. [Éditeur: ils chassent des fantômes pour mieux vendre les poisons de "big pharma"... une honte.]




Source: Daily Mail




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Lisa Shaw, 44 ans, est décédée d’une thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin, une affection qui entraîne un gonflement et des saignements du cerveau, environ trois semaines après sa première dose du vaccin AstraZeneca.

Des études établissent un lien entre AstraZeneca et les trois vaccins COVID autorisés aux États-Unis et les troubles de la coagulation sanguine.


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Une présentatrice de radio primée de la BBC est décédée des suites de complications de sa première dose du vaccin COVID d’AstraZeneca,a conclu un coroner.

Lisa Shaw, 44 ans, qui travaillait pour BBC Radio Newcastle, est décédée à l’infirmerie Royal Victoria de la ville en mai 2021, un peu plus de trois semaines après sa première dose du vaccin développé par l’Université d’Oxford.

Selon la BBC, l’enquête– une enquête judiciaire visant à établir les faits relatifs à un incident, tel qu’un décès – a révélé que Shaw avait été admise à l’hôpital après que les médecins enquêtant sur ses plaintes de maux de tête aient découvert qu’elle avait souffert d’une hémorragie cérébrale.

Karen Dilks, coroner principale de Newcastle, a déclaré: « Lisa est décédée des suites de complications d’une vaccination COVID d’AstraZeneca ».

Dilks a déclaré que Shaw était auparavant en forme et en bonne santé, mais a conclu qu’il était « clairement établi » que sa mort était due à une très rare « thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin » - une condition qui entraîne un gonflement et un saignement du cerveau, a rapporté la BBC.

Tuomo Polvikoski, un pathologiste, a dit au coroner que Shaw était en forme et en bonne santé avant de recevoir le vaccin. Interrogée sur la cause sous-jacente de la coagulation mortelle sur son cerveau, Polvikoski a déclaré que les preuves cliniques « soutiennent fortement l’idée qu’elle était, en effet, induite par un vaccin ».

Shaw, qui a été désignée pendant l’enquête par son nom marimarié, Lisa Eve, a commencé à se plaindre de maux de tête quelques jours après avoir reçu le vaccin. Elle s’est finalement rendue dans un hôpital de Durham, où on lui a diagnostiqué un caillot de sang.

Shaw a reçu sa première dose d’AstraZeneca le 29 avril. Le 13 mai, elle a été emmenée en ambulance à l’hôpital universitaire de North Durham après avoir eu mal à la tête pendant plusieurs jours.

Dans un communiqué, le Dr John Holmes, qui a traité Shaw, a déclaré qu’elle se plaignait d’avoir un « mal de tête sévère en tirant et en poignardant » sur son front et derrière ses yeux.

Shaw a été transférée à l’infirmerie Royal Victoria où elle a reçu un certain nombre de traitements, y compris couper une partie de son crâne pour soulager la pression sur son cerveau. Elle est décédée le 21 mai.

Le Dr Christopher Johnson, consultant en anesthésie et soins intensifs à l’infirmerie, a déclaré que les médecins étaient en conférence quotidienne avec un panel national sur la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin alors qu’ils traitaient Shaw, la condition dont elle souffrait.

Lorsqu’on lui a demandé s’il aurait changé les traitements donnés à Shaw, Johnson a répondu: « Non. »

Johnson a déclaré que le National Institute for Health and Care Excellence avait publié des lignes directrices sur la façon de traiter la maladie en juillet, et que ces lignes directrices correspondaient au traitement reçu par Shaw.

En mai, des chercheurs allemands ont déclaré qu’ils pensaient avoir trouvé la cause des caillots sanguins rares liés aux vaccins Johnson & Johnson (J & J) et AstraZeneca.

Les chercheurs ont déclaré que les vaccins COVID qui utilisent des vecteurs adénovirus – des virus du rhume utilisés pour délivrer du matériel vaccinal – envoient une partie de leur charge utile dans le noyau des cellules, où certaines des instructions pour la fabrication des protéines du coronavirus peuvent être mal interprétées. Cela peut entraîner des protéines qui peuvent potentiellement déclencher des troubles de la coagulation sanguine chez un petit nombre de receveurs.

D’autres scientifiques ont suggéré des théories concurrentes pour la condition de coagulation.

Le décès de Shaw est survenu quelques semaines après que le comité consultatif sur les vaccins du Royaume-Uni a restreint l’utilisation du vaccin Oxford / AstraZeneca aux personnes de plus de 40 ans, après des rapports selon lesquels certains receveurs ayant une faible teneur en plaquettes ont développé des caillots sanguins inhabituels. D’autres pays ont imposé des restrictions similaires ou suspendu complètement l’utilisation du vaccin.




Source: The Defender




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Je vous en avais parlé le 30 mai 2021...

Lisa Shaw 44 ans est décédée à l'infirmerie royale de Victoria, à Newcastle, dans la région de l'Angleterre du Nord-Est, le vendredi, 27 mai 2021.

Là, le jeudi, 26 août 2021, une coroner anglaise du nom de Karen Dilks nous apprend que ce sont des complications du "vaccin"-COVID d’AstraZeneca.

Rappelons que Lisa Shaw est morte d’une hémorragie cérébrale causée par un caillot de sang 3 semaines après sa première dose d’AstraZeneca.

Cette nouvelle est importante parce que le lien avec l'injection d'AstraZeneca est officialisé, par la coroner.

Du coup, il devient impossible pour AstraZeneca de se moquer des gens en prétextant avoir affaire à une "coïncidence".


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Mais...

Il y a plus que cette femme "consentiste" de 44 ans qui nous a quitté de manière violente et tragique et ce, beaucoup trop tôt.

En cherchant à propos des statistiques de décès post-injections des "vaccins", en Grande-Bretagne, je suis tombé sur cette page officielle qui fait état, en date du 18 août 2021, de 72 décès post-injections.

Lisez ce qui suit...

"Événements thrombo-emboliques avec faible taux de plaquettes concomitant

Jusqu’au 18 août 2021, la MHRA avait reçu des rapports de carton jaune de 417 cas d’événements thromboemboliques majeurs (caillots sanguins) avec thrombocytopénie concomitante (faible numération plaquettaire) au Royaume-Uni après la vaccination avec le vaccin COVID-19 AstraZeneca. Quarante-quatre des 417 rapports ont été signalés après une deuxième dose. Sur les 417 rapports, 210 ont été signalés chez des femmes et 203 chez des hommes âgés de 18 à 93 ans.

Le taux global de létalité était de 17 % avec 72 décès, dont six après la deuxième dose.

Une thrombose des sinus veineux cérébraux a été rapportée dans 149 cas (âge moyen de 46 ans) et 268 ont présenté d’autres événements thromboemboliques majeurs (âge moyen de 54 ans) avec thrombocytopénie concomitante. Le nombre estimé de premières doses du vaccin contre la COVID-19 administré par AstraZeneca au Royaume-Uni au 18 août était de 24,8 millions et le nombre estimé de deuxièmes doses était de 23,9 millions."

Qu'importe le nombre de "vaccins" injectés, les 72 décès sont bel et bien réels, même s'ils sont honteusement minimisés par les autorités mondialistes de Grande-Bretagne.

Et pour le produit expérimental d'AstraZeneca, il y a eu bien plus de problèmes que les "grands médias" ne le disent...

"Jusqu’au 18 août 2021 inclus, la MHRA a reçu et analysé un total de 229,134 rapports britanniques de suspicion d’ADR au vaccin COVID-19 d'AstraZeneca. Ces rapports comprennent un total de 816,393 réactions suspectées (un seul rapport peut contenir plus d’un symptôme). Le premier rapport a été reçu le 4 janvier 2021."

Quiconque ose prétendre que le ChAdOx1-S recombinant d'AstraZeneca est "sécuritaire" n'a assurément pas faire l'effort de consulter ces statistiques britanniques.


--


Et pourtant, le cirque-COVID-19, soutenu par des Caquistes-décrétistes, au Québec, se poursuit et c'est une honte absolue car malgré un taux de "vaccination" au Québec qui a valu le titre de "champions" à notre coin du monde, aucune mesure barrière n'a été révoquée.

Les "consentistes" commencent à réaliser qu'ils ont été les "cons" au proverbial "dîner de cons" des mondialistes, amplifiés localement par presque tous les "élus" qui ne défendent pas le peuple.

Petite note pour la classe politique, quand les "double-vaccinés" vont comprendre qu'ils se font fait jouer pour des poireaux, leur colère sera terrible, contre les ennemis mondialistes du peuple.


--


Ce n'est qu'une question de temps avant que les "consentistes" comprennent que des morts comme celle de Lisa Shaw, une ravissante femme de 44 ans, dans la force de l'âge, peut leur arriver, à n'importe quel moment, à eux aussi.

Tic-toc, tic-toc.


--


Certains ne le voient pas encore mais ça commencer à bouillir et à gronder, du côté des "consentistes", aussi.

Le ségrégation, les manipulations, les secrets (comme avec McKinsey) et les décrets ne passent juste plus, chez ces "consentistes" qui s'attendaient à retrouver une "vraie liberté", après avoir été... "dociles".

Là, les "dociles" réalisent qu'il font rire d'eux.

Et ils n'aiment pas ça.


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