Dans cette prise d’otages mondiale du covid-19 manipulée par Klaus Schwab et ses acolytes du Forum de Davos, les rouages de cette gigantesque supercherie commencent maintenant à apparaître au grand jour. En d’autres termes, ce que l’on aurait appelé il y a encore un an « l’État profond » commence à montrer son vrai visage ou plutôt : ses visages.
Tout d’abord, à tout seigneur tout honneur : le grand architecte de cette machination criminelle:
Klaus Schwab, le dirigeant fondateur du Forum de Davos
Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, rappelons brièvement qu’il est né en Allemagne en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum économique mondial (WEF) qui rassemble chaque année depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, parmi lesquels Jacques Attali, Emmanuel Macron, Angela Merkel, Christine Lagarde, Georges Soros, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockfeller.
Klaus Schwab a publié en juillet 2020 un livre : « Covid-19 : la Grande Réinitialisation » véritable programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler » et que l’UE, avec la complicité des grands labos pharmaceutiques, se charge d’appliquer à la lettre avec des vaccins géniques pour réduire en esclavage des pans entiers de populations occidentales confinées et entretenues H24 par la peur permanente d’un virus monté en épingle par des médias à la solde de l’oligarchie financière. Pour en savoir plus, les journalistes dissidents du Guardian ont fourni une description détaillée de ce scénario cauchemardesque dont l’adaptation résumée se trouve ici. (1)
Mais nous allons nous intéresser aujourd’hui à l’ingénieur en chef de cette machine de guerre qu’on appelle désormais : « La grande pandémie du Covid-19 » : Christian Drosten.
Qui est Christian Drosten?
Christian Drosten, virologue allemand, est directeur de l’Institut de virologie de l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin. Dans son édition du 30 mai 2020, le magazine allemand Der Spiegel titrait qu’il est aujourd’hui l’homme le plus honoré et le plus haï d’Allemagne.
Mais pourquoi donc?
Les honneurs d’abord: l’hebdomadaire Stern, titrait lui, ébloui deux mois avant, en mars 2020:
“Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile.” (2)
Car c’est Christian Drosten qui, en janvier 2020, a mis au point le coronatest PCR, qui sert désormais de méthode standard pour détecter le coronavirus dans le monde entier. En tant que directeur de l’institut de la Charité de Berlin, il est un conseiller très influent d’Angela Merkel et a participé comme expert à de nombreuses conférences de presse gouvernementales. Ainsi, par ses évaluations, il a également influencé de manière déterminante des décisions politiques de grande envergure, telles que le port du masque obligatoire, la suspension des cours réguliers à l’école ou encore la fermeture de tout le secteur de la restauration.
La haine maintenant : le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. (3)
Aujourd’hui, dans ce désastre sanitaire mondial planifié de toutes pièces, c’est un deuxième tribunal de Nüremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit le Dr Drosten en justice.
Selon Reiner Fuellmich, tous les responsables de cette crise du Covid-19 doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de programmes corrompus. C’est pourquoi un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Il est indéniable que dans ce crime, Christian Drosten occupe une place de choix.
Ainsi, dans une vidéo magistrale de 49 minutes traduite en français, (4) Reiner Fuellmich démontre que la pandémie de Covid-19 n’est rien d’autre qu’une gigantesque supercherie : « il n’existe pas de pandémie de Covid-19, juste une pandémie de tests PCR. Sans les résultats des tests publiés en permanence dans les médias, la pandémie serait déjà terminée.»
Mais ce n’est pas tout : dans une vidéo de 16 minutes, la chaîne allemande kla.tv vient de mettre à jour dans une enquête explosive « Le dossier Christian Drosten» (5) , en faisant toute la lumière sur les antécédents peu connus mais très importants du personnage qui mettent pour le moins en doute la crédibilité de “l’homme le plus recherché de la république” selon l’hebdomadaire Stern. Cette enquête soulève également selon les journalistes allemands de la chaîne « de graves questions concernant l’ensemble du scénario Covid-19, qui apparaît clairement comme la plus grande supercherie de l’histoire jamais mise en œuvre. »
« Ainsi, des erreurs de prévision fatales, de nombreuses incohérences inexpliquées concernant sa thèse de doctorat, un “test PCR Covid” développé à la hâte et présentant des défauts scientifiques fondamentaux, et un bourbier insoupçonné d’embrouilles financières, privent Christian Drosten de toute crédibilité ! »
« Si le personnage central de la crise du Covid s’avère être indigne de confiance après un examen plus approfondi, cela soulève de sérieuses questions :
- Sur la base de ce fondement non scientifique, l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, avec la menace inévitable d’un effondrement économique et financier de nations entières, ne doit-il pas être enfin investigué pour connaître les tireurs de ficelles et les profiteurs en arrière-plan ?
- Cette crise du Coronavirus ne pourrait-elle donc pas s’apparenter à une prise de pouvoir par étapes et même conduire à la mise en place d’une surveillance numérique de peuples entiers sous prétexte de lutter contre une pandémie ?
- Pourquoi les grands médias, qui sont chargés de faire des reportages critiques, ne découvrent-ils pas le “dossier Drosten”, mais le gardent même secret ? »
Jean-Michel Grau
Références:
- https://mondialisation.ca/klaus-schwab- ... -0/5652765
- https://stern.de/p/plus/gesundheit-wiss ... 84616.html
- https://ripostelaique.com/est-ce-dans-c ... vivre.html
- https://youtube.com/watch?v=VWk90PvlJX0
- https://kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr
Source: Riposte laïque
À lire aussi dans Moutons Rebelles, l'article intitulé "Bon timing avec Biden : L’OMS admet que les tests PCR à seuil de cycle élevé produisent des faux positifs pour le Covid-19" qui explique que moins d'une heure après l’inauguration de Joe Biden et la signature d’un décret imposant le port de masques sur toutes les installations fédérales, l’OMS a envoyé un avis aux professionnels de laboratoire utilisant le test PCR. Il est dit dans cet avis:
Et l'OMS a aussi écrit:Les directives de l’OMS sur les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 stipulent qu’il faut interpréter avec précaution les résultats positifs faibles (1).
Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient.
Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau en utilisant la même technologie TAN ou une technologie différente.
littéralement une heure après la prestation de serment de Biden, l’OMS a admis que les tests PCR à taux d’amplification élevé modifient la valeur prédictive des tests et donnent lieu à un nombre énorme de faux positifs.
Dans les faits, ça explique qu'un test PCR positif, en l’absence de symptômes, ne signifie RIEN lorsqu'il est obtenu suite à un compte d'amplifications supérieur à 30.La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic, par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent prendre en compte tout résultat en combinaison avec le moment du prélèvement, le type d’échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Le Québec trompé
Et au Québec, depuis le tout début des décrets sanitaires commencés le 13 mars 2020, tous les comptes d'amplification des "tests PCR" sont supérieurs à 30 puisque réputés avoir été conduits à 45.
Autrement dit, les "cas-COVID" du Dr Horacio Arruda sont surfaits.
-- -- --