COVID: La multiplication des caméras, à Montréal

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cgelinas
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Voici ma réponse à un commentaire qui demandait "comment tu veux qu'ils te reconnaisse avec un cache coup ou un masque" (sans les fautes, merci à Eve Laliberte) dans le contexte d'une publication qui annonçait ceci:

Voilà, ça a commencé. Caméras à environ tous les demi-kilomètres à Montréal. >> reconnaissance faciale... surveillance... c'est à ça que servent les couvre-feu?

On imagine facilement que les couvre-feu ont de nombreux usages mais celui d'installer des caméras, dans nos rues, pourrait en faire partie.


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La reconnaissance biométrique comprend un jeu de données très large.
  • données personnelles de base (incluant l'adresse, liée au compte de téléphonie cellulaire, par exemple);
  • historique des habitudes;
  • contacts avec des tiers;
  • démarche;
  • habitudes vestimentaires ou accessoires utilisés, comme un véhicule, un vélo ou un skate.
En fait, toute marque distinctive devient un élément d'information qui ajoute à la "reconnaissance".

Il s'agit d'un projet bien plus large que la simple "reconnaissance", d'ailleurs.

C'est un projet de contrôle, total.

Sur l'humain, certes mais aussi sur sa personne numérique, celle qui peut stocker les punitions qu'une collection de lois pourront affubler de diverses transgressions (comme d'avoir parlé fort, en public) afin d'affecter l'humain tout en prétendant la "clémence physique" de la part du contrôleur.

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Et comme si cette accumulation d'information infonuagique n'était pas encore assez orwélienne, voilà que des nanoparticules invisibles à l'oeil nu mais bien réelles se retrouvent dans notre alimentation, dans plusieurs populaires produits de soins corporels et par extension, dans l'eau, la terre et l'air.

Ces nanoparticules aux usages multiples peuvent devenir des plateformes pour d'autres usages.

Le contrôle de ces volumes sans cesse plus importants de nanoparticules peut avoir lieu à tout moment, via des mécanismes chimiques, physiques, électriques ou fréquentiels, comme via la 5G qui, comme les caméras fait l'objet d'un important déploiement, partout en zone urbaine, au Québec, en période de confinement et surtout, vraisemblablement, pendant les couvre-feux.

Ça n'a rien à voir avec la sécurité des humains ou alors de manière infime.

Tout ça est un seul et même système de contrôle.

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À chacun de se renseigner.




Source: Mon commentaire, dans Facebook




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