Isabelle James: le droit de respirer librement est inaliénable

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LE DROIT DE RESPIRER LIBREMENT EST INALIÉNABLE!

Isabelle James

Docteur en philosophie (politique)



Les rédacteurs des déclarations des droits de l’homme n’avaient pas imaginé qu’un jour viendrait, où, en nos démocraties occidentales, le premier des droits, le droit à la vie, de même que le droit à la santé, seraient profanés factuellement, de l’usage d’une législation scélérate.

Et ce, au prétexte de les protéger, dans un retournement de la réalité proprement démoniaque.

Les défenseurs de la liberté n’avaient pas pensé devoir préciser que les fonctions physiologiques primordiales ne peuvent être entravées sans que cela constitue une atteinte à ces droits fondamentaux. Pouvoir respirer sans entrave est un droit inaliénable.

Le droit de respirer librement est consubstantiel au droit à la vie et à la santé. L’imposition du port du masque est anticonstitutionnelle au premier chef, illégitime et illégale.

Symboliquement et concrètement, toucher au souffle c’est toucher au fondement de la vie à son essence. Nous arrivons à la vie dans un originaire cri inspiratoire et notre dernier souffle signe son terme. Réfréner autoritairement le cours naturel de la respiration d’un individu est notoirement et indubitablement motivé par une intention malveillante à visée pathogène, empruntant une possible voie criminelle. Priver l’individu d’un apport libre et naturel en oxygène c’est a minima, l’affaiblir physiquement et psychiquement, amenuiser sa force vitale légitime, le déposséder de ses moyens. Le port d’un masque couvrant le nez et la bouche doit procéder d’un choix éclairé dans le cadre de situations spécifiques, professionnelles ou autres. Il ne peut être la conséquence d’une contrainte généralisée sans contrevenir au droit légitime à la vie et à la santé, à moins d’un danger qui surpasse les dégâts en matière de santé physique et psychique qu’elle entraîne, en particulier s’agissant des enfants. Or, il est pratiquement impossible de même concevoir un risque qui justifie une telle mesure contraignante, pathogène et liberticide, et son utilité, n’est bien évidement aucunement prouvée dans le cadre de cette fausse pandémie qui nous accable.

Le port du masque a des répercussions néfastes dans tous les domaines de la vie des individus, en particuliers des personnes fragiles.

Le masque entrave non seulement la respiration mais aussi la fonction immunitaire. Il contrevient aux relations sociales et limite l’intimité entre proches, il est un frein à l’épanouissement moteur, affectif, relationnel des plus jeunes ainsi qu’à leurs apprentissages.

L’obligation du port du masque contrevient fondamentalement à la liberté d’expression, parce que la voix est affaiblie et la parole entravée, mais aussi en un sens essentiel, puisque l’expression du visage n’est plus visible. Qu’il ne soit plus possible de présenter à autrui la digne expression de son humanité, et recevoir la sienne en retour, est un traitement par définition inhumain et dégradant. Masqué, l’individu est, de facto, déclassé, privé de la manifestation qui signe et sa particularité subjective, et son appartenance à la grande famille humaine dans les relations qui lui sont propres, et cela est particulièrement dommageable pour les enfants.

C’est l’humanité qui se trouve étouffée, par décret.

Désormais le bébé naît d’une mère subissant l’entrave de sa respiration pendant le travail et la présence de son père est exclue ; il arrive muré dans la solitude dans un monde sans visage, déshumanisé, entourés de soignants dissimulés à plus d’un titre, et qui bientôt injecteront dans son corps d’obscures substances. Et c’est à ces mornes entités qu’il est censé s’identifier. Il sera prêt alors à rejoindre ses identiques dans une cour de récréation sans contacts authentiques et sans joie, pour regagner une classe où un enseignement appauvri par les contraintes lui sera dispensé sans qu’il ne puisse se concentrer ni s’y intéresser. Éteint par la contention, les privations affectives et les injonctions mortifiantes, la qualité de sa pensée sera celle d’un humain drastiquement diminué, prototype conditionné à la sujétion, lointain descendant d’individus humains libres.

Une nouvelle race de serfs sans âme est en marche.

La muselière est la marque imposée aux troupeaux de gueux qu’il s’agit de dresser avant la grande transhumance vers l’état mondialisé de l’esclavage. Il s’agit de bâillonner, en un rite de passage signifiant à tous leur nouveau statut d’entités sans voix ni droit. La greffe contentive est l’accessoire symbolique initiateur des offenses transhumaines à venir ; lobotomisé et robotisé, chacun ne peut qu’obéir.

Il est notoire que les machines, même humanoïdes, n’ont pas besoin de liberté.

Accepter le sceau de l’infamie, c’est prêter allégeance au pouvoir de l’ombre que les gouvernants représentent contre tout autre intérêt citoyen. Porter le masque, c’est entériner avec ostentation en un rituel sado-masochiste, en une obscène mise en scène satanique, les prétentions de l’ordre de non-droit forçant une incantation muette vers les ténèbres. Cet ordre dictatorial s’érige de l’arbitraire dont l’imposition du bâillon est l’expression la plus parlante. Désormais chaque zombie apprend à attendre les ordres : un jour le masque, un jour l’assignation à résidence, un jour la restriction de déplacement, l’ausweis, toujours la laisse, toujours demander la permission, offrir son corps à l’investigation invasive, puis tendre le bras, entendre les drones au-dessus de sa tête, ne pas oublier son passeport vaccinal, prendre son ticket pour l’incinérateur lorsqu’on devient inutile au système, lequel au préalable saura sûrement revaloriser quelque organe prélevé mort ou vif.

Alors que les relations entre les figures d’autorité et les individus les plus vulnérables, dont les enfants, sont subordonnées à la dissimulation et à l’affaiblissement, l’habituation à cette nouvelle normalité masquée pose un cadre qui constitue un conditionnement à l’impunité, par l’éducation à son acceptation par la victime. Le masque est le prélude à l’abus ; tous les abus. Tandis que l’on bâillonne, on se cache soi-même à la vue du supplicié. S’il en réchappe, il est ainsi rendu incapable de désigner l’agresseur dégagé de sa culpabilité. Et ce, par une anticipation législative propre à introduire des crimes de masse contre des victimes nées, déshabillées de leurs défenses juridiques et sociales et de la responsabilité de leurs parents, si jamais ils en avaient.

Dans la logique de retournement de toute valeur en son contraire, loi naturelle et juridique, par le pouvoir proprement luciférien à l’œuvre, il s’agit ici d’une violation surdéterminée, du droit aux conditions de la conservation de la vie et de la santé constitutive (physique et psychique), du droit à l’intimité, à la vie sociale et citoyenne, de la liberté d’expression, mais aussi de la responsabilité individuelle qui demande que personne ne cache son identité dans la sphère publique. Et quiconque n’est plus responsable de ses actes, n’ayant plus de devoir, n’a plus de droit. Seule la loi du plus fort prévaut alors. Celle du marché auquel les entités dépourvues de parole et de droits sont désormais en voie d’inclusion.

Si les autorités avaient voulu affaiblir les individus dans leurs activités quotidiennes physiques et mentales, si elles avaient voulu provoquer de nouveaux cas de maladies respiratoires, de maladies de peau et infections diverses, si elles avaient voulu entraver le fonctionnement de leur système immunitaire et l’avènement d’une immunité collective, elles n’auraient pas procédé autrement.

Si elles avaient voulu les vulnérabiliser psychologiquement, les accabler d’angoisses et de mal-être dès le plus jeune âge afin qu’ils ne soient plus en mesure de se défendre, elles auraient exactement procédé de cette manière.

Si elles avaient voulu faire montre d’un mépris ostentatoire, les dénigrer, les humilier, c’est ainsi qu’elles auraient fait. Si elles avaient voulu tester le niveau d’apathie, et de soumission aveugle à l’autorité, pour poursuivre un plan d’assujettissement global et d’atteinte à la vie et à la santé des populations, également. Si les autorités étaient à la botte d’un pouvoir souterrain globaliste d’une malveillance extrême. Si les gouvernants étaient couchés devant les banques, lobbies, sociétés secrètes et autres factions étrangères. Si, de la même manière, leur comité (anti)-scientifique béquille législative outrageusement illégale d’une députation faible et incompétente agissait en violation du serment d’Hippocrate et ne représentait que les intérêts des puissances de l’argent derrière Big Pharma, pareillement. Rappelons que tout cela est fait au prétexte de protéger les populations d’un virus à la dangerosité équivalente à celle d’une grippe, au moment où la charge virale est la plus faible alors que ce port du masque était interdit lorsqu’elle était élevée. Ceux dont les sens n’ont pas été altérés par le virus de la peur, peuvent voir et entendre.

Ceux dont les fonctions cérébrales n’ont pas été diminuées par un apport en oxygène perturbé peuvent comprendre ce qui se joue.

Nous citoyens intègres ayant conservé quelque dignité, vous le disons clairement: nous n’avons pas peur! Nous ne nous laisserons pas étouffer! A chaque nouvelle parole, votre haleine putride vous démasque, votre indignité vous met au ban de l’humanité, à chaque nouvelle injonction vous vous enfoncez patiemment dans le marécage de vos compromissions, vous vous asphyxiez vous-même dans le flot des insanités que l’innommable Cabale vous murmure sachant qu’elle précipite votre chute, et que vous répétez, innocentes marionnettes. La lumière a toujours été plus forte que les ténèbres. L’obscurité magnifie la lumière. Et vous êtes les faire-valoir des individus rayonnant de leur liberté intérieure.

Tous, là-haut, nous observent, le souffle court. Rédacteurs enflammés des énoncés constitutionnels inaliénables et révolutionnaires héroïques ayant offert leur sang sur l’autel du despotisme pour que leurs descendants goûtent le fruit réservé de la liberté. Mais aussi peuples faméliques corvéables à merci nourrissant sans relâche la vile engeance usurière, les marchands qui s’y acoquinent, les roitelets faiblards, et les seigneurs cruels défendant leurs propriétés exclusivement. Les Lumières nous talonnent. Que ne pouvons-nous voir en avant? Les angelots sans visage ni identité que l’immonde bête souterraine a transpercés de ses cornes lubriques, aussi attendent; ils sont ceux, sacrifiés, qui doivent donner à l’humanité la force de la démasquer et de la terrasser pour toujours, avant l’asphyxie. Tous se penchent par-dessus les nuages pour assister au spectacle. Nous devons être à la hauteur.

Tous les enfants appartiennent constitutivement à la lumière et au souffle vital à moins que nous leur abandonnions ce droit par lâcheté, nous défaisant nous-mêmes de notre dignité. Tous les enfants de la Terre et de ses entrailles implorent qu’on leur insuffle à nouveau la force vitale de la liberté, qu’on leur retire l’immonde bâillon, les chaînes de la sujétion constitutive. Jouer, courir, apprendre, interagir, parler, rire, et suivre le guidage expressif, la parole et le sourire intègre et bienveillant, être embrassé, étreindre, librement, recevoir le contact identifié que l’on accueille contre tout abuseur masqué. Vivre pleinement sa vie d’enfant pour être un adulte sain de corps et d’esprit, gardant son âme des avances des ténèbres.

Nous devons les sauver du gouffre sans lumière ni oxygène et que jamais aucun n’y retourne.

Nous, citoyens intègres ayant le sens de la justice, levons nos armées. Les combattants de la liberté rassemblent leurs troupes, soldats numériques, lanceurs d’alerte, manifestants infatigables et autres anonymes pétris des valeurs politiques historiques des peuples occidentaux sont appelés incessamment sur la place publique et numérique. La liberté n’est pas un droit, c’est un devoir. C’est la raison pour laquelle on ne peut nous la retirer. Nous nous réapproprions notre souffle de vie, notre inspiration combative. Nous sommes en guerre, en guerre pacifique pour la liberté et rien désormais ne pourra nous arrêter. Cette guerre est la nôtre contre tous les bourbiers dans lesquels se sont perdues les armées de manifestants défigurés, détournés, asphyxiés. Contre la guerre d’informations, la guerre de propagande, la guerre contre notre santé et le génocide programmé. Et contre toute revendication mineure insidieusement poussée en avant et autre intérêt particulier, nous nous battons pour nos droits fondamentaux et ceux de tous les enfants. C’est notre croisade impérieuse pour notre souveraineté. Quant à son issue, nous n’avons pas de choix: les enfants nous regardent.



Source: Isabelle James, le 7 octobre 2020, via Facebook

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