Est-ce que vous voyez venir le problème?
Si nous n'avons plus d'argent pour financer tous ces beaux "projets sociaux" alors, d'où vient l'argent? Et bien, ce sont les banquiers internationaux qui "comblent la différence" et ce sont nos enfants qui devront payer la note.
Oui, nos enfants vont payer pour l'équité salariale de Georgette et le compte de dépense de Louis, par exemple.
C'est "cheap" en "bonyenne" de devoir faire payer les gros salaires de nos fonctionnaires d'aujourd'hui par les enfants qui seront terrassés par les épouvantables dettes personnelles et d'État, demain — à cause du manque évident de jugement des "profiteurs", notamment dans la fonction publique.
C'est Léopold Hamel, dans Facebook, qui a lancé une discussion avec ce synopsis:
- Avec la disparition de la fabrication au Québec, il reste les services et l'économie sociale et avec la plus grosse fonction publique per capita au pays.
Les 563,000 fonctionnaires de toutes sortes, il y a beaucoup de bouches à nourrir et le Québec avec ses programmes communistes est condamné à des déficits encore pour longtemps. Attendez- vous à d'autres augmentations de taxes et d'impôts...
- Les Québécois ont tout pour réussir mais doivent avoir le courage d'envisager la vie autrement que via l'inévitable "guichet gouvernemental" où il existe une sorte de "disneyworld salarial" qui ne semble pas préoccuper ceux qui en profitent mais qui, à l'évidence, inquiète ceux qui doivent continuellement le refinancer.
Tandis qu'on en parle, via l'angle de la disparition progressive de la base industrielle québécoise, voici deux articles intéressants:
Vous comprendrez mieux d'où viennent les milliards de dollars qui servent à financer les largesses de notre fonction publique.
Il vous sera aussi plus facile de comprendre pourquoi il faut agir maintenant pour sauver nos enfants de l'escalavage économique qui les guette.
Les banquiers se frottent les mains et esquissent de larges sourires à chaque victoire syndicale. Devrions-nous vraiment nous en réjouir?[/color]
Sérieusement, il est temps de stopper la saignée des dépenses plus ou moins utiles...