Oppression judiciaire-COVID: Arrêtée pour non respect du couvre-feu, la «dame inconnue» identifiée

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cgelinas
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Voici un autre exemple patent de l'oppression judiciaire-COVID d'une citoyenne qui se promenait après l'heure du confinement ILLÉGAL de la CAQ, via des décrets sanitaires qui sévissent CONTRE les Québécois depuis plus d'un an, sans contestation.

C'est à lever le coeur de voir l'appareil judiciaire poursuivre l'action covidienne des policiers de Québec.


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Arrêtée parce qu’elle ne respectait pas le couvre-feu, une femme qui refusait obstinément de décliner son identité a forcé les policiers à user de leur pouvoir pour savoir de qui il s’agissait.

Le 7 mars dernier, Brandon Kelly, celle que l’on appelait jusqu’ici «la dame inconnue», a été arrêtée par les policiers du Service de police de la Ville de Québec alors que le couvre-feu était passé.

Refusant de s’identifier, Kelly, qui n’avait sur elle aucun papier et qui ne s’exprime qu’en anglais, a été amenée en détention puis conduite devant un juge pour y être accusée d’entrave au travail des policiers.

À la Cour, une ordonnance d’évaluation sur l’aptitude a été demandée et, en début de semaine, le poursuivant, Me Jean-Sébastien Lebel a demandé au juge Bernard Lemieux que la dame soit évaluée afin de déterminer si elle souffrait de troubles mentaux.

La demande a toutefois été refusée par le magistrat qui a fait savoir qu’il n’avait pas « les motifs raisonnables de mettre en doute la responsabilité criminelle» de l’accusée.

Prise d’empreinte

Le 30 mars, l’enquêteure chargée du dossier, Marie-Ève Gosselin, s’est donc présentée au secteur féminin de l’Établissement de détention de Québec accompagnée d’un membre du service d’identité judiciaire pour y prélever les empreintes de la dame ainsi que pour y prendre des photographies.

Les éléments recueillis ont ensuite été envoyés à la Sûreté du Québec qui a identifié Kelly à partir de sa base de données.

«Des recherches au CRPQ ont par la suite permis de comprendre que cette dame avait été arrêtée, en juillet 2020, et que la même chose était arrivée, soit qu’elle avait refusé de s’identifier», a ajouté le poursuivant avant de mentionner au Tribunal qu’il était désormais prêt à procéder à l’enquête sur remise en liberté.

Pendant la durée des procédures, Kelly qui se trouvait à la Cour de façon virtuelle regardait par la fenêtre de sa cellule, faisant ainsi dos à la caméra.

Lorsque questionnée par le Tribunal, elle s’est également abstenue de parler, se contentant de lever le bras lorsque son avocat, Me Alex Savoie, lui a demandé de confirmer si elle renonçait à son enquête sur cautionnement et, par le fait même, à sa liberté.

Le procès a donc été fixé au mois de juin.



Source: TVA



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Claude Gélinas, Éditeur
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