Des immigrants s’enfuient sans rembourser
Posté : 29 janvier 2017, 08:36
Des immigrants s’enfuient sans rembourser leurs dettes d’aide sociale
Le réseau TVA révèle les résultats d’une vaste enquête sur la fraude à l’aide sociale (ça date de 2013, important de le noter alors c'est probablement semblable pour 2016).
Des étrangers venus au Québec afin de bénéficier de l’aide sociale gratuite et à vie fraudent le gouvernement pour des centaines de milliers de dollars. Lorsqu’ils se font pincer, ils s’enfuient dans les autres provinces où la loi provinciale n’a pas d’effet ou retournent simplement dans leurs pays du tiers-monde avec le magot amassé et sans jamais rembourser un sou à l’état québécois.
Rappelons que pour eux, 20 000$ ou 30 000$ empochés illégalement représentent une fortune chez eux où le coût de la vie est une fraction d’ici. C’est malheureusement devenu une arnaque bien connue et répandue.
Ces personnes ont obtenu leurs prestations de manière inappropriée, ou ils n’ont pas respecté les ententes de parrainage d’immigrants en vertu desquelles ils doivent assumer la responsabilité financière des membres de leur famille qui ont immigré au pays. Plutôt que de payer, ce gens ont choisi de plier bagage pour s’établir dans une autre province ou même dans un autre pays.
Les recherches ont révélé que certains de ces fraudeurs sont ailleurs au Canada ou s’en sont retournés au Maroc, en Algérie, où s’établissent dans des pays occidentaux comme l’Allemagne ou la France. Il y a entre autres Abdul-Rashid- Naeem, Djimi Mahamat Korei, Kadija Fofana, Ileana Ivanescu, Yolanda Palacio Giron, Ponnuthurai Thangarajah, Mhamed Mastour, Mahin Heydari, Ana Espina Rojas, Alvaro Caicedo (quiz : vous avez 60 secondes pour apprendre cette liste de noms).
Selon un rapport du gouvernement, entre avril 1987 et mars 1996, plus de 335 millions $ ont été versés en prestations d’aide de dernier recours à des immigrants parrainés.
L’Agence QMI a répertorié 44 poursuites contre des immigrants à Montréal et ailleurs en 2011. Quinze individus traduits en justice ont été sommés de remettre l’argent de l’aide au revenu qui a été versé aux personnes qu’ils parrainaient, pour un montant de 709 169 $.
Ayant fait moi-même carrière à l’aide sociale, je peux assurer que ces chiffres effarants sont bien en-deça de la réalité que j’ai vécue. Une loi du silence pèse sur les fonctionnaires de ce ministère, surtout lorsque le gouvernement est libéral (et défend les communautés ethniques pour glaner leurs votes). Les sommes réelles perdues paieraient beaucoup de soins de santé à la fine pointe, de nouvelles infrastructures, de bourses aux études aux Québécois.
Une solution simple consisterait à n’accorder le droit à l’aide sociale qu’au bout de 10 ans de travail au Québec pour éviter les profiteurs du système et les tentatives de fraude. Sinon le candidat retourne immédiatement dans son pays dès qu’il ne peut plus subvenir à ses besoins. Il existe des centaines de millions de candidats prêts à entrer au pays demain matin avec une telle promesse de prise en charge pour le reste de leur jours : aide sociale automatique à vie, soins de santé gratuits à vie, éducation payée, etc.
Source: Vigile Québec
Vous connaissez des immigrants qui trichent le système?
Dénoncez-les!
Visitez dès maintenant la page du MTESS ou téléphonez, sans frais, au 1 866 644-2251.
Le réseau TVA révèle les résultats d’une vaste enquête sur la fraude à l’aide sociale (ça date de 2013, important de le noter alors c'est probablement semblable pour 2016).
Des étrangers venus au Québec afin de bénéficier de l’aide sociale gratuite et à vie fraudent le gouvernement pour des centaines de milliers de dollars. Lorsqu’ils se font pincer, ils s’enfuient dans les autres provinces où la loi provinciale n’a pas d’effet ou retournent simplement dans leurs pays du tiers-monde avec le magot amassé et sans jamais rembourser un sou à l’état québécois.
Rappelons que pour eux, 20 000$ ou 30 000$ empochés illégalement représentent une fortune chez eux où le coût de la vie est une fraction d’ici. C’est malheureusement devenu une arnaque bien connue et répandue.
Ces personnes ont obtenu leurs prestations de manière inappropriée, ou ils n’ont pas respecté les ententes de parrainage d’immigrants en vertu desquelles ils doivent assumer la responsabilité financière des membres de leur famille qui ont immigré au pays. Plutôt que de payer, ce gens ont choisi de plier bagage pour s’établir dans une autre province ou même dans un autre pays.
Les recherches ont révélé que certains de ces fraudeurs sont ailleurs au Canada ou s’en sont retournés au Maroc, en Algérie, où s’établissent dans des pays occidentaux comme l’Allemagne ou la France. Il y a entre autres Abdul-Rashid- Naeem, Djimi Mahamat Korei, Kadija Fofana, Ileana Ivanescu, Yolanda Palacio Giron, Ponnuthurai Thangarajah, Mhamed Mastour, Mahin Heydari, Ana Espina Rojas, Alvaro Caicedo (quiz : vous avez 60 secondes pour apprendre cette liste de noms).
Selon un rapport du gouvernement, entre avril 1987 et mars 1996, plus de 335 millions $ ont été versés en prestations d’aide de dernier recours à des immigrants parrainés.
L’Agence QMI a répertorié 44 poursuites contre des immigrants à Montréal et ailleurs en 2011. Quinze individus traduits en justice ont été sommés de remettre l’argent de l’aide au revenu qui a été versé aux personnes qu’ils parrainaient, pour un montant de 709 169 $.
Ayant fait moi-même carrière à l’aide sociale, je peux assurer que ces chiffres effarants sont bien en-deça de la réalité que j’ai vécue. Une loi du silence pèse sur les fonctionnaires de ce ministère, surtout lorsque le gouvernement est libéral (et défend les communautés ethniques pour glaner leurs votes). Les sommes réelles perdues paieraient beaucoup de soins de santé à la fine pointe, de nouvelles infrastructures, de bourses aux études aux Québécois.
Une solution simple consisterait à n’accorder le droit à l’aide sociale qu’au bout de 10 ans de travail au Québec pour éviter les profiteurs du système et les tentatives de fraude. Sinon le candidat retourne immédiatement dans son pays dès qu’il ne peut plus subvenir à ses besoins. Il existe des centaines de millions de candidats prêts à entrer au pays demain matin avec une telle promesse de prise en charge pour le reste de leur jours : aide sociale automatique à vie, soins de santé gratuits à vie, éducation payée, etc.
Source: Vigile Québec
Vous connaissez des immigrants qui trichent le système?
Dénoncez-les!
Visitez dès maintenant la page du MTESS ou téléphonez, sans frais, au 1 866 644-2251.