Radio-Canada reprend ses publications sur Twitter

[cgelinas]

[Éditeur: 22 jours plus tard, Radio-Canada revient dans Twitter... comme quoi la société d'État n'est pas capable de se passer de la plateforme où ils veulent faire censurer ceux qui les contredisent. Quelle bande d'hypocrites!]


9 mai 2023


Radio-Canada et CBC ont décidé le 17 avril dernier [2023] de suspendre leurs publications sur Twitter à la suite de la décision d’Elon Musk d’apposer au compte de CBC l’étiquette inexacte de « média financé par le gouvernement ».

Nous reprenons aujourd’hui les publications des comptes Info de Radio-Canada, de CBC News, d'ICI Première et de RC Sports.

[Éditeur: sans le financement publique (imposé aux Canadiens), RC n'est rien.]

Rappelons que Twitter avait défini les médias financés par un gouvernement comme suit:

Les médias financés par le gouvernement sont définis comme des entités financées en tout ou en partie par le gouvernement et dont le contenu éditorial peut être sujet à des interventions gouvernementales à divers degrés.

[Éditeur: RC se prend pour ce qu'il n'est pas. C'est un média-mercenaire d'État au service exclusif de la Trudeauisterie libéraleuse-woko-mondialiste.]

La première partie de la définition qui porte sur le financement est exacte. Une partie importante du budget de CBC/Radio-Canada provient de fonds publics qui ont été alloués par le Parlement. C'est la deuxième partie de la définition, qui laisse entendre que le contenu éditorial peut être sujet à des interventions gouvernementales, qui est totalement fausse. Radio-Canada comme CBC sont complètement indépendantes et le gouvernement n'est jamais impliqué dans leur contenu éditorial. Nous avons bien expliqué cela dans le Mot de l’info du 18 avril 2023.

[Éditeur: ouf! RC est un porte-voix pour les idéologies mondialistes des classes politiques et agit comme un ennemi actif des Canadiens. Tout le monde le voit, RC agit contre les Canadiens, jour après jour.]

Le 21 avril 2023, Twitter a finalement retiré cette étiquette du compte de CBC.

[Éditeur: Twitter a ajusté le message, ce n'est pas pareil.]

En parallèle, le réseau a aussi retiré les crochets bleus qui attestaient de la vérification des personnalités et des institutions. Il faut désormais payer pour avoir ce crochet et pour bénéficier de fonctionnalités additionnelles. N'importe qui dorénavant peut détenir ce badge bleu, ce qui rend le réseau beaucoup plus vulnérable à la présence de désinformation.

[Éditeur: RC est un réseau de désinformation active. C'est arrogant-rare d'accuser les autres de désinformer quand on observe que les mercenaires de Trudeau, à la CBC sont les premiers à désinformer, sans fin.]

Malgré cela et même si la gestion du réseau reste imprévisible, nous croyons qu'il est important de reprendre les publications sur certains comptes majeurs parce qu’il est fondamental que les citoyens puissent encore trouver des sources d'information crédibles. Et CBC/Radio-Canada en est une.

[Éditeur: non, RC n'est absolument pas crédible. Certains points d'information peuvent être factuels ou observables mais les narratifs induits sont aussi nombreux qu'insidieux, ce qui colore tout ce qui sort de RC avec la couleur indélibile de la désinformation.]

Les autres grands médias canadiens et étrangers ont aussi décidé de rester actifs sur Twitter. Ce réseau est à la fois un fil de presse, une plateforme de diffusion et une source de cueillette d'infos pour nos journalistes.

[Éditeur: RC qui se prend pour un "grand média". Sans les subsides publics, RC n'est rien. Encore moins un "grand média". Honte sur cette vantardise non-méritée de RC qui vampirise nos fonds publics pour nous endoctriner et nous programmer, pour le compte des mondialistes.

Twitter génère très peu de trafic direct dans l'écosystème radio-canadien. Cependant, cela reste une plateforme où l’information circule et où politiques, journalistes et personnes influentes partagent des nouvelles. Nous nous devons en tant que média public d’y être actifs et de continuer à diffuser une information vérifiée.

[Éditeur: tsé, vous n'étiez pas forcés de revenir dans Twitter, ça allait très bien sans vous.]

Nous avons pris le temps de bien analyser la situation avant de statuer sur les actions suivantes:

[Éditeur: RC a paniqué en voyant qu'ils se faisaient rapidement oublier et comme des junkies, ils reviennent là où les gens se trouvent... soit hors de leurs sites web à eux. Des sites abjects de désinformation radio-canadienne, pro-Trudeau et pro-mondialistes.]

Radio-Canada ne paiera pas pour obtenir le crochet bleu. Comme il suffit de payer pour l'avoir, il n'est plus une garantie de crédibilité. Nous estimons que notre marque a plus de poids qu'une étiquette artificielle et que cette dépense n'est pas justifiée par l'intérêt public. Nous avons émis une directive interne à cet effet et recommandons à nos journalistes de ne pas payer non plus. La décision finale leur appartient cependant en ce qui concerne leurs comptes personnels.

[Éditeur: RC n'a plus de crédibilité. Juste notre gros cash, via le mondialiste Justin Trudeau et ses complices.]

Nous reprenons nos publications, mais cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas conscients des dérives potentielles de Twitter ou de tout autre réseau social. Cette plateforme n’est pas la seule, malheureusement, où la désinformation circule allègrement. Nous savons aussi pertinemment qu’une partie de notre auditoire s’informe principalement sur les réseaux sociaux. C’est pour cette raison que Radio-Canada, comme média public rigoureux, doit informer tous les francophones, peu importe la plateforme qu’ils consultent.

[Éditeur: les dérives sont celles de Radio-Canada et elles sont intentionnelles, contre le meilleur intérêt des Canadiens.]

Cela dit, nous continuons de surveiller attentivement les développements et adapterons nos actions en conséquence.

[Éditeur: de la surveillance ou de la woko-mondialo-surveillance?]


Luce Julien est directrice générale de l’Information de Radio-Canada



Source: Radio-Canada / Pat Laliberté en parle... dans Twitter



-- -- --

[cgelinas]

22 jours après sa crisette, Radio-Canada revient sur Twitter.

viewtopic.php?t=5130

Est-ce que les mercenaires woko-mondialistes de la Trudeauisterie libéraleuse d'Ottawa s'inquiétaient de voir une baisse de l'amplification de leurs désinformations d'État?

Ou était-ce parce que Twitter allait vraiment bien, sans Radio-Canada? Trop bien au goût des "vérificateurs de faits", financés par nos fonds publics?

Dans les faits, Radio-Canada désinforme, censure et "fact check" pour le bénéfice des mondialistes.

Ils agissent en ennemis des Canadiens.

Alors pour leurs petites leçons de morale, dans leurs "raisons pour leur retour dans Twitter", on s'en serait passé.

Regardez, en photo, le beau gros bureau-chef ultra-luxueux qu'ils se sont payés avec les fonds publics qu'ils ont récolté en faisant de la désinformation pour le compte des mondialistes. Ils ne se cachent pas. C'est à nous de les voir pour ce qu'ils sont.



Source: Ma publication, dans VK, Twitter et Facebook



-- -- --