Halte à la course aux diagnostics

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cgelinas
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Des experts proposent de revoir le financement des élèves en difficulté

Un groupe d’experts lance un pavé dans la mare: il faut repenser le financement des élèves en difficulté afin de mettre fin à la «course aux diagnostics» dans le réseau scolaire, affirment-ils.

C’est l’une des recommandations du Comité québécois pour les jeunes en difficulté de comportement, contenue dans le mémoire présenté dans le cadre des consultations sur la réussite éducative.

Dans le réseau scolaire, les élèves en difficulté qui ont certains diagnostics reçoivent un «code» qui est rattaché à un financement supplémentaire. Or, cette façon de faire entraîne des «impacts négatifs» sur les services aux élèves, selon le Comité. «L’identification administrative des élèves handicapés a pour effet d’entraîner dans les milieux scolaires une course aux diagnostics», peut-on lire.

Les professionnels passent beaucoup de temps à gérer ces formalités administratives, ce qui diminue le temps consacré aux services aux élèves, précise la présidente du Comité, France Michon. «Il y a une nécessité de revoir cette approche-là», affirme-t-elle.

« Plancher de services »

Pour s’assurer que les services sont au rendez-vous, le Comité propose plutôt d’instaurer un «plancher de services» pour chaque école, basé sur les particularités du milieu. L’objectif est que «dès le départ, on puisse compter sur des ressources qui ne sont pas remises en question chaque année», explique Mme Michon.

Le ministère de l’Éducation propose de revoir les modalités entourant le financement des élèves en difficulté dans le cadre des consultations en cours.
La proposition est loin de faire l’unanimité puisque les syndicats d’enseignants tiennent à maintenir ce qu’on appelle «l’approche catégorielle», qui représente, selon eux, le seul moyen de garantir des services aux élèves avec un diagnostic. Le financement des services aux élèves en difficulté représente environ 2,3 milliards $ annuellement.


Source: Journal de Québec
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Il y avait ce commentaire...

Tobjorn Liessem · Polytechnique Montréal

C'est incroyable à quel point la majorité des personnes ici n'ont pas compris le message.

Arrêter de faire une lever de bouclier à chaque fois qu'un critique de notre système apparait !

Cela ne fait qu'empirer la situation déjà critique.

Ce qu'ils veulent dire c'est qu'à chaque année les parents doivent voire x et y spécialistes afin que leur enfants garde leur statut de handicap.
Ce qui cause : absentéisme, stress, anxiété, conflits, etc.

Et J'en passe.

Leur solution: Mettre en place un suivi personnalisé pour les élèves en difficultés à cause de handicaps afin qu'ils reçoivent l'aide néscessaire directement !

Et non devoir alller rencontrer des "spécialistes" comme Catherine Martin qui ne feras jamais de diagnostiques avant 100 rencontres payantes et au moins 5 ans.

On les abandonnes et le système est content.

oh et avant que vous ne me haîssier parce que j'ose vous critiquer, mon petit frère est autiste et c'est fait ¨"diagnostiquer" après trois ans de rencontres avec des "spécialistes" puis nous avons put lui faire rencontrer une orthopédagogue qui nous à montrer leur incroyable technique d'éducation qui peut-être résumé par : "donne la papatte !" suivie de "Bon enfant, voilà un bonbon." si il a fait l'action demander. Puis elle nous à dit que mon petit frère était autiste et qu'elle le traiterat peut-être dans 30 ans car ils sont "surchargés" par leur patients qui n'arrive jamais à devenir autonome car ils les traites comme des chiens.

On est allé en europe: Pris en charge dès la première semaine, traitement humain, résultat fulgurants car ils ne les prennent pas comme des chiens, autonomie complète après 2 ans de thérapie et il bénéficie encore d'un suivie malgré des dizaines de nouveaux patients chaque année dans son centre !
Claude Gélinas, Éditeur
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